lundi 22 août 2016

M-commerce en pleine croissance - Chiffres 2016

Le m-commerce en pleine croissance

Aujourd’hui, je viens vous présenter à travers une infographie réalisée par Ecoreuil.fr, les principales tendances du commerce mobile ainsi que les chiffres clefs de ce secteur de plus en plus plébiscité par les consommateurs. Vous-même avez-vous peut-être déjà eu l’occasion d’effectuer des achats via votre smartphone ? Pour les moins avertis, je suis sûr qu’il vous arrive régulièrement de consulter un (ou plusieurs) site e-commerce depuis votre mobile ? Vous l’aurez compris, le mobile et plus précisément le m-commerce font désormais partie de notre mode de consommation.

Le mobile : une opportunité pour le commerce en ligne

Le commerce mobile est une nouvelle façon de consommer qui est apparue il y a quelques années. Très facile à utiliser pour réaliser ses achats en ligne sur internet, il est également innovant et pratique, puisqu’il permet d’acheter quasiment n’importe quel type de produit depuis n’importe où grâce à un appareil connecté, le commerce mobile est un secteur en forte croissance. Il découle du e-commerce, le commerce électronique, et séduit de plus en plus d’utilisateurs à travers le monde. La grande mobilité du m-commerce -l’autre nom du commerce mobile- en fait sa force et d’autant plus que les consommateurs sont de plus en plus nombreux à posséder un appareil mobile relié à internet, qu’il s’agisse d’un téléphone de type smartphone ou d’une tablette tactile.

Quand le commerce mobile vient concurrencer le e-commerce

Dans l’infographie présentée ci-dessous et proposée par le site internet de codes promos Ecoreuil.fr,  on peut voir que ce secteur est en si forte croissance qu’il vient entrer en concurrence avec le commerce électronique auquel il est pourtant rattaché. C’est ce que nous montre notamment cette infographie : le commerce mobile connaît un taux de croissance de 34 % et pourrait croître de 31 % en 2017, soit une croissance de 200 % plus rapide que le commerce électronique général. Des chiffres impressionnants qui révèlent bien l’attrait des consommateurs pour le m-commerce.
D’ailleurs, les utilisateurs de m-commerce sont de plus en plus nombreux à privilégier exclusivement ce mode de consommation au détriment du commerce électronique plus général. L’infographie nous montre par exemple les cinq commerçants que les consommateurs américains visitent uniquement depuis un appareil mobile connecté. Se retrouvent dans cette liste des grandes enseignes telles que Apple, que 59 % d’américains consultent via mobile, Target, une chaîne de grande distribution visitée à 53 % par appareil mobile, ou encore Kohl’s, une autre célèbre marque de la grande distribution consultée à 48 % depuis un mobile connecté.




















lundi 11 juillet 2016

6 tendances à connaître sur le m-commerce en France

Pour la première fois, les Français ont dépensé plus de 1 000 euros en moyenne sur Internet en 2015. Ce chiffre devrait encore augmenter en 2016, pour atteindre les 1 085 euros dépensés sur le web dans l'année. C'est ce que montre l'étude sur les tendances du m-commerce en Europe publiée début mars par RetailMeNot, la société qui s'est spécialisée dans les réductions en ligne.
Résultat, le chiffre d'affaires des e-commerçants français a augmenté de 17% en 2015 (36,5 milliards d'euros), plaçant la France au 3ème rang européen, derrière le Royaume-Uni et l'Allemagne.

Les tendances en 2016

  • L'étude rappelle qu'en Europe, ce sont les ventes par Internet qui permettent au secteur du retail de conserver des taux de croissance positifs: +1,8% de croissance en moyenne en Europe (dans le détail: +16,7% de ventes en ligne et -1,5% de ventes en boutique). La France ne fait pas figure d'exception: +1,3% de croissance pour la vente de détail avec une diminution de 1,2% des ventes en magasin prévues pour 2016
  • En 2016, le mobile pèsera pour 23,6% des dépenses en France. A l’échelle européenne, on estime que le m-commerce présentera un potentiel de 65 milliards d’euros
  • Les achats sur mobile ont explosé en France entre 2014 et 2015, passant de 3,7 à 7 milliards d’euros. Les auteurs de l'étude estiment que les achats sur smartphones ont progressé de 117%, ceux sur tablette de 64%. 
  • Cette croissance devrait se poursuivre en 2016, avec un montant moyen dépensé sur mobile en augmentation de 36%. Les Français dépenseront en moyenne 711,67 euros sur mobile en 2016 (soit plus que la moyenne européenne qui est de 656,64 euros).
  • Le panier moyen sur mobile est en légère diminution cette année: 47,54 euros dépensés par transaction en moyenne en 2016, contre 49,74 euros en 2015. On notera également que le panier moyen sur mobile est inférieur au panier moyen pour l’ensemble du e-commerce (57,97 euros dépensés en moyenne par transaction sur le web en 2016).
  • Au-delà de la baisse attendue du panier moyen, le nombre de transactions sur mobile va quant à lui augmenter en 2016. Les Français effectueront en moyenne 15 achats sur mobile dans l'année, contre 10,5 en 2015 (plus que la moyenne européenne, qui est de 13,3 achats sur mobile en moyenne). 
retailmenote-info

Source: frenchweb.fr

lundi 9 mai 2016

En France, les joueurs de jeux vidéo seront bientôt reconnus comme des sportifs

Les jeux vidéo sont-ils un sport comme les autres? Axelle Lemaire, secrétaire d'Etat au numérique, a reçu jeudi un rapport parlementaire sur l'e-sport, nom donné à la pratique compétitive de jeux vidéo. Rédigé par le député Rudy Salles (UDI) et le sénateur Jérôme Durain (PS), il doit inspirer des amendements à la loi pour une République numérique, examinée au Sénat en avril. Le texte dispose en effet d'un article portant sur les compétitions de jeux vidéo. Le sujet avait été proposé par les internautes grâce à une plateforme de propositions ouverte à l'occasion de l'écriture de la loi. «C'est la mesure qui a été la plus populaire auprès des internautes, et de loin!» s'enthousiasme Axelle Lemaire. «Jusque-là, le sujet n'a jamais été touché par les parlementaires, et aussi incompris par les autorités en général.» En France, on estime à 4,5 millions le nombre de spectateurs occasionnels ou réguliers de compétitions de jeux vidéo, et 205 millions dans le monde.
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Anticiper le phénomène

Entre six et sept articles supplémentaires devraient être proposés en avril, soutenus à la fois par le gouvernement et des sénateurs. La mesure phare du rapport est de créer un nouveau statut pour les compétitions de jeux vidéo: actuellement, elles sont considérées comme des loteries et donc illégales en théorie, bien que tolérées dans la pratique. Le gouvernement veut mieux réglementer la participation des mineurs à ces événements, en rendant obligatoire l'autorisation parentale. Axelle Lemaire souhaite aussi aligner les règles de diffusion des compétitions d'e-sport à la télévision sur celles des matchs sportifs. Cela permettrait aux chaînes d'échapper à l'interdiction de publicité dissimulée, qui les oblige à flouter les maillots des joueurs portant des sponsors, ou même à ne pas citer le nom du jeu auquel ils jouent.
Source: Le Figaro 

mercredi 6 avril 2016

Comment la Chine est devenue l’exemple digital à suivre?

Une société ultra connectée, ultra équipée…
La Chine connaît un taux de pénétration d’Internet d'à peine 50%, soit 680 millions d’individus. "C’est d’abord la configuration et la géographie du pays qui explique ce phénomène, analyse Laure de Carayon. La Chine est un pays immense, les familles sont séparées par des milliers de kilomètres, et c’est pour cela que la population à commencer à s’équiper". C’est à partir des années 1990 qu’elle s’équipe de petits téléphones rudimentaires qui lui permettent de communiquer rapidement et simplement malgré les distances. "L’Etat a largement contribué à développer ces technologies et la pénétration du mobile est devenue rapidement très forte, poussée par l’augmentation du niveau de vie", poursuit Laure de Carayon. Aujourd’hui, près de 100% des internautes chinois sont des mobinautes.
… Et en avance sur le paiement mobile
Les services et les solutions suivent cette explosion du téléphone mobile. Ainsi, l’achat en ligne devient un phénomène qui s’ancre dans la société, et le commerce mobile devient le point de contact privilégié des commerçants. Selon L'Atelier BNP Paribas, la Chine compte aujourd’hui 620 millions de mobinautes, soit 91% des internautes. A l’image des innovations dont s’emparent rapidement les consommateurs chinois, le paiement mobile est également un point essentiel des transactions. Entre 2013 et 2015, la part des achats mobiles sur Alibaba sur des Single Days a été multipliée par trois."C’est une pratique quotidienne, précise Laure de Carayon. 70% des achats en ligne se font désormais sur mobile". Un constat partagé par Jean de Chambure. "C’est un moyen de paiement qui a été très vite adopté par les consommateurs, qui sont passés quasiment directement du billet de banque au mobile, sans toutes les technologies intermédiaires que l’on a connues en Europe", précise-t-il. Les QR codes, ces petits codes-barres à deux dimensions à scanner, sont partout : au restaurant, devant la machine à soda, pour faire une donation ou acheter un ticket de métro, "la question de la monnaie a tout simplement été supprimée", résume Laure de Carayon.














Les occidentaux, désireux de Se faire une place aux côtés des géants chinois
Ce sont les entreprises chinoises qui ont mieux que quiconque compris la révolution numérique et surfer sur ces nouveaux usages si bien accueillis par les consommateurs. Les sites Alibaba, Baidu Tencent, les réseaux sociaux WeChat et Sina Weibo, les fabricants Huawei et ZTE sont aujourd’hui les leaders sur leur marché national. Et désormais, ce sont les entreprises étrangères qui tentent de conquérir des parts de marché. Le Sud-Coréen Samsung a annoncé le lancement en Chine, quelques semaines après son concurrent américain Apple, de son système de paiement électronique, Samsung Pay. Comment vont-elles pénétrer un marché mature, déjà dominé à 71% par Alibaba avec Alipay, et 13% par Tencent, via WeChat ? "Apple a joué malin en multipliant les partenariats avec les banques chinoises, juge Jean de Chambure. Et la marque à la pomme est très appréciée en Chine, où elle incarne une certaine idée du haut de gamme".
De plus en plus attirées par ce marché vertigineux et loin d’avoir atteint ses limites, les marques étrangères cherchent des opportunités. "Elles doivent décrypter les dernières tendances marketing, les outils, les opportunités et de s’inspirer de ce qu’il se fait pour capter cette clientèle de plus en plus exigeante", préconise Laure de Carayon. Des opportunités à chercher du côté du tourisme et naturellement du luxe, en misant sur le mobile, devenu le canal unique pour se faire connaître des consommateurs chinois, sur les réseaux sociaux, et en apprenant à connaître cette société différente des sociétés occidentales. "La réalisation, le dépassement de soi et le collectif, mais aussi le premium sont des valeurs très importantes", analyse Laure de Carayon. Parmi les exemples à suivre, Hermès, marque de luxe la plus désirable et la plus exclusive en Chine*, citée par l'Atelier BNP Paribas, mais aussi dans la grande consommation PepsiCoCoca-Cola, etStarbucks, "qui a réussi le pari de faire aimer le café au pays du thé", s’amuse-t-elle.

mardi 1 mars 2016

3 tendances du paiement digital [MWC2016]

Publié le 22/02/2016 par Floriane Salgues À l'occasion du Mobile World Congress de Barcelone, MasterCard prêche pour le paiement digital et réalise quelques annonces. Voici les trois tendances analysées par la société américaine de système de paiement.



"Nous considérons que la transition du paiement par carte plastique au paiement digital est une priorité. D'ici 2020, nous anticipons que 40 % des paiements seront digitaux, contre 15 % aujourd'hui." David Deschamps, responsable des paiements digitaux pour MasterCard en Europe annonce la couleur de la transformation. Trois environnements, sécurisés, doivent ainsi cohabiter, poursuit l'expert : de proximité (dans les magasins), à partir d'un browser (sur ordinateur) et in-app. "L'objectif est que le consommateur puisse payer indifféremment dans les trois environnements", explique-t-il. Quels sont les changements en cours ?





1 / Le développement du sans-contact :

Dans le monde des terminaux physiques, il est nécessaire de mettre en place des infrastructures qui acceptent autre chose que des cartes plastiques. Le développement du sans-contact doit continuer", explique David Deschamps. La technologie est en bonne voie : d'ici 2020, tous les terminaux mobiles devront être pourvus de l'innovation sans-contact. Au dernier trimestre 2015, 13 % des transactions effectuées avec MasterCard l'ont été en sans-contact et 1 milliard de transactions en 2015 sont passées par cette technologie, soit une augmentation de 150 %.

Sur le Mobile World Congress 2016, Mastercard a annoncé un partenariat avec la société WISeKey, afin de permettre le paiement sans contact sur certaines montres de luxe, à l'instar de Bulgary et Hublot.

 2 / Le rapprochement avec les géants :

 Apple, Google, Samsung... Les géants développent eux-aussi des solutions de paiement, à l'instar d'Apple Pay, effectif en Angleterre depuis juillet 2015. "Nous ne pouvons les ignorer, il faut au contraire s'en rapprocher", poursuit l'expert. Le système permet de charger la version digitale d'une carte bancaire et de faire des transactions. Sur le sujet, MasterCard joue le rôle de facilitateur entre la banque et l'entreprise technologique. Et veille à ce que les nouveaux entrants ne créent pas de faille de sécurisation.



 3 / La tokenisation des achats :

 La tokenisation - ou le processus de substitution des données bancaires - est le sujet phare, selon MasterCard. En jeu, bien sûr, la sécurité des données et l'anticipation des fraudes. Le mode d'emploi : à chaque numéro de carte bancaire un numéro spécifique, différent sur chaque device, est attribué, grâce à une plateforme de tokenisation. L'entreprise annonce, lors du Mobile World Congress, l'extension de cette plateforme de substitution des données bancaires à dix e-commerçants - noms non-communiqués -, alors que le service n'existait jusqu'alors qu'en magasin. MasterCard applique également le principe dans les app.

Source : http://www.ecommercemag.fr







mardi 16 février 2016

Un Mode de Paiement simple et sécurisé

Un paiement simple et sécurisée est devenu indispensable face à l’évolution digitale et le changement des habitudes des consommateurs Actuels

Ces changements obligent toute entreprise souhaitant assurer un moyen de paiement simple et sécurisé mais également ne demandant aucune nécessité de créer un compte ou de divulguer ses propres coordonnés.

TrickPay accompagne les individus ayant un commerce en ligne à installer leur stratégie de distribution via plusieurs moyens et devices y compris le paiement sur le web ou par mobile.

Actuellement les clients utilisant le plus ce moyen de paiement sont les jeunes développeurs et les Gameurs ayant un serveur et voulant intégrer un script de paiement sécurisé leur permettant de rentabiliser leurs contenus digitaux : 

parmi les produits les plus commercialisés par TrickPay on trouve : 

  • les armatures et les monnaies virtuelles sur les jeux MMO 
  • Les magazines numériques en lignes
  • Les jeux de cartes et de casino 
  • Les vidéos et les films streaming
  • Autres

 Smartphone, App, Japonais, Messagerie, Mobile, Boutique

vendredi 12 février 2016

La croissance de l'e-commerce remonte à 13% en janvier 2016

Après un dernier trimestre 2015 décevant, le commerce électronique français profite des soldes d'hiver pour tourner la page.
Alors que la croissance de l'e-commerce avait oscillé autour de 8,5% pendant tout le quatrième trimestre 2015, elle est repartie à la hausse à la faveur des soldes d'hiver. En janvier 2016, les dépenses en ligne des consommateurs français ont augmenté de 13,09% par rapport à janvier 2015, selon l'indice e-commerce mensuel du JDN. Le secteur renoue donc quasiment avec les niveaux de croissance qu'il enregistrait pendant les neuf premiers mois de l'année dernière.


L'observation du nombre de transactions réalisées en ligne par carte bancaire confirme ce rebond. Les e-commerçants utilisant les plateformes de paiement de notre panel – Worldline, Payline by Monext, Paybox by Verifone et Ingenico ePayments – affichent en effet 20,11% de ventes supplémentaires en un an.
Que l'on considère la valeur ou le nombre des achats en ligne, ils affichaient déjà une progression très correcte en janvier 2015. Pas d'effet de rattrapage, donc. L'e-commerce a bien retrouvé son dynamisme après une fin d'année morose pour beaucoup de sites, y compris avant les attentats du 13 novembre.


Les paniers dopés par les soldes d'hiver, contrastant avec les achats de petits cadeaux de Noël, sont d'ailleurs venus soutenir la croissance du secteur. Le montant moyen des achats en ligne, qui était tombé jusqu'à 68,33 euros en décembre, est remonté à 73,49 euros le mois dernier. Nul doute toutefois qu'il finisse par reprendre la lente dégringolade qui le rapproche chaque année davantage de son asymptote : le panier moyen de la distribution physique. Entre janvier 2015 et 2016, il aura tout de même perdu 5,84%, soit 4,56 euros.


Méthodologie

Le nombre de transactions par carte bancaire correspond à des paiements ayant abouti et non au nombre d'interrogations sur les serveurs de ces sociétés. L'indice présente le nombre et la valeur des paiements électroniques effectués par carte bancaire auprès de e-commerçants français ayant opté pour les services de paiement en ligne proposés par quatre acteurs : WorldlinePayline by Monext,PayBox by Verifone et Ingenico ePayments.
 Source: JDN